Au sommet de mon âme, sur les pentes insensées
De mon existence, dépourvue de sens
L'eprouvante réalité de mes veules pensées.
Mes maux tapis tels des poissons nagant à contresens
Injectent leur venin, comme de vils serpents.
Au delà des mots qui pansent mes plaies,
L'histoire tourne toujours éperdument
Autour d'une tragédie qui s'amoncelle c'est vrai.
L'herisie de ma conscience pleut sur ma vie.
Au prisme de mes idées délétères, mon innocence qui pleure
Point de repos dans ce marasme qui me plis
L'oublis se fait couteau et assaille mon pauvre cœur
Ma peine abboie tel un chien enragé qui se fourvoi
Et le sceau de ma misérable vie dénote de ma peur
Que je croyais endormie mais qui revient parfois
Pour prendre d'assaut le dernier credit de mon cœur
De mon existence, dépourvue de sens
L'eprouvante réalité de mes veules pensées.
Mes maux tapis tels des poissons nagant à contresens
Injectent leur venin, comme de vils serpents.
Au delà des mots qui pansent mes plaies,
L'histoire tourne toujours éperdument
Autour d'une tragédie qui s'amoncelle c'est vrai.
L'herisie de ma conscience pleut sur ma vie.
Au prisme de mes idées délétères, mon innocence qui pleure
Point de repos dans ce marasme qui me plis
L'oublis se fait couteau et assaille mon pauvre cœur
Ma peine abboie tel un chien enragé qui se fourvoi
Et le sceau de ma misérable vie dénote de ma peur
Que je croyais endormie mais qui revient parfois
Pour prendre d'assaut le dernier credit de mon cœur
